UN MAGAZINE CHIC,CHOC ET CHARME

Un magazine jamais vendu en kiosque,uniquement lu sur le net pour et par les écrivains et tous les artistes aimant l'art du bien vivre et qui veulent lire en musique.
Chic,choc et charme



vendredi 27 mars 2009

SOIREE LE QUARTIER DES BAINS


Fascinant roman que ce Combat de l’amour et de la faim, dans
lequel le lecteur se glisse comme dans un livre de Steinbeck ou
de John Fante, embarqué dans l’austérité âpre de cette
Amérique d’avant la grande crise. »
Nathalie Dupuis, Elle

« Ni masque ni costume : le roman de Stéphanie Hochet n’est
pas un roman français déguisé. Cet écrivain-là avait vraiment
besoin des États-Unis pour son drame, comme d’autres de
l’Antiquité pour leurs tragédies. »
Nils C. Ahl, Le Monde des livres

« Cette histoire prenante est un regard formidablement posé sur
la société américaine et le racisme des années vingt. »
Brigitte Kernel, Femme Actuelle

« Un très beau roman fait de désir et de miel noir. »
Amélie Rouher, Le magazine des livres

« Stéphanie Hochet nous donne l’un des meilleurs livres de la
saison. »
Emmanuelle de Boysson, Marie Claire

jeudi 26 mars 2009

LE PRIX DES LILAS, LA REVUE DE LAURENCE CATANZARO


Prix Lilas, récompense littéraire décernée par des femmes à une femme auteure.
Stéphanie Hochet pour son livre "Combat de l’amour et de la faim" édité chez Fayard a reçu le Prix Lilas 2009. Il lui a été remis le mercredi 25 mars à la Closerie des Lilas (Paris 6e).

mercredi 25 mars 2009

DOMINIQUE DYENS ,DELIT DE FUITE


"Délit de Fuite" de Dominique Dyens (EHO, 5 mars 2009) à La librairie du Bon Marché ( sous-sol du magasin)24 rue de Sèvres à Paris samedi 4 avril 2009 de 16h à 18h30
Dominique a déjà publié de nombreux ouvrages La femme éclaboussée ( Denoël 2000)
C'est une maison bleue ( Denoël 2002)Maud à jamais ( Denoël 2003)Eloge de la cellulite et autres disgrâces. (Nouvelles.)( Héloïse d'Ormesson 2006 dont un que j'ai beaucoup aimé Maud à jamais.récidiviste pour mon plaisir et le vôtre.

Vous ne viendriez pas à cet évènement vous commettriez un délit de fuite!Dominique ne fuira pas devant ses admirateurs
L'histoire:
Délit de fuite de Dominique Dyens
Anne Duval, trente-six ans, célibataire, mène une brillante carrière dans la publicité. Elle incarne la femme libre. Libre ? Un trois décembre, tout bascule. Anne craque, prend la tangente et s'enfuit au hasard des routes. Au bord de la folie, elle échoue dans un hôpital psychiatrique à Clermont-Ferrand. A sa sortie, elle est assignée en qualité de témoin dans une affaire de meurtre. Que s'est-il passé ? Qui est cet homme tapi dans l'ombre qui semble lui voler son histoire ? Drame porté par une écriture acérée et une mécanique diabolique, Délit de fuite est la rencontre d'un Machiavel et d'une femme prise au piège de son inconscient.
Auteur notamment d'Eloge de la cellulite et autres disgrâces (2006), Dominique Dyens renoue ici avec le suspense psychologique qui fit le succès de son premier roman, La Femme éclaboussée. Elle vit à Paris.

dimanche 22 mars 2009

COBENMANIA


La COBENMANIA exite t'elle?oui puisque dans mes bureaux elles sont toutes folles de lui et que je dépouille ma bibliothèque pour prêter ses ouvrages....en passant par Laurence CATANZARO tête chercheuse de talents litteraire ..il y a de la COBENMANIA dans l'air.
L'évènement est vertical et horizontal,Nord Sud,Est Ouest en Europe..l'homme a de beaux jours devant lui et Sans un mot...il avance doucement ..
A la recherche de l'ado disparu....on ira tous
Aux Editions Belfond

samedi 21 mars 2009

VALERIE LAMOUR SCENARISTE DIALOGUISTE


Quand on n'a que Lamour à s'offrir......
Brel me sert une intro qui me permet de relever un évènement dans ma vie..
Croiser Lamour c'est croiser Valérie qui entre comme un courant d'air dans l'existence.Il y a longtemps que je ne fus pas autant fasciné par un personnage comme ça.
D'aucuns me diront qu'elle est belle et qu'il n'est pas difficile d'être attiré par ça et bien il n'y a pas que ça.
Valérie eût pu s'appeler Lumour que je n'en fus point étonné.
Qui est Valérie? le curieux de l'histoire c'est que je la voyais cantonnée à l'explication des grossesses,des post grossesses en ange gardien des mamans.
On reppelera à cette occasion qu'elle a écrit 11 ouvrages tels que Méthodes Pilates pour femmes enceintes,Etre enceinte à Paris...
Ses éditeurs: Le cherche Midi, Michel Lafon, Marabout, Hachette..
voir livres sur www.regimapresgrosesse.fr


Elle parle de celles qui donnent la vie...elle est la vie Aussi je vais parler de l'autre facette de Valérie ,,la scénariste,dialoguiste dont le 7 ème art ne se passera plus..vous verrez tout ça sur son site.http://www.myspace.com/valerielamour
Valérie je vais te faire une confidence,il paraît qu'en France il y a 3,2 millions de blondes,n'y aurait il seule brune à découvrir ce serait toi.
Auteur (le Cherche Midi, Hachette, Marabout, Michel Lafon, et scénariste-dialoguiste de longs metrages : "Hommes-Femmes-Mode d'emploi" pour Claude Lelouch ou "Lune" chez les Films Manuel Munz et comédie "Pauline" , , ainsi que "La vie en Roses", unitaire pour Pierre Mondy, etc... La température de l'âme est la boussole qui m'interpelle. Scénariste vivante ou une femme qui pond sur commande ou pas, n'importe où, n'importe comment, avec n'importe qui (enfin, je crois), sur n'importe quel thème mais pas à n'importe "quel prix, le prix de ma liberté, celle de ma conscience du "juste ce qu'il faut" ...- Mes personnages s'inventent la nuit, se réveillent à l'aube puis s'étendent affalés ou bandants dans le hamac de l' ordi. Drôle de rythme, étrange affaire. Putain de pied. Scénariste est le propre de" l'homme" qui scénarise sa vie au gré et au vent de minutes lumineuses, ténébreuses, nostalgiques, romantiques, rock'n'roll...Fulgurances de journées qui courent plus vite que ton ombre. Je pénètre alors l'éclat, le son, le ryhtme, la vibration de l'autre, l'histoire de ce personnage allumant le mot Humanité, seul baromètre qui nous fait vivant. Je suis "constituée" pour inventer, un avenir, une idée, une conception, un autre. L'intérêt se porte naturellement davantage à l'idée originale plutôt qu'à l'adaptation. Petit coquin de scénariste se prenant pour Dieu.
Et avec humour sa maxime fera la conclusion,Le meilleur de l'homme, c'est la femme. Le meilleur de la femme, c'est l'homme.

jeudi 19 mars 2009

LE MARCHE DE L'ART

La parole est donnée au sociologue Laurent Jeanpierre qui à la Fondation s'exprime sur le marché de l'art
« Après coup » propose un exercice critique de l'actualité en appui sur des événements permettant de révéler certains traits distinctifs du contemporain.
Il est fréquent de dénoncer les effets néfastes du marché sur le monde de l'art, soit que la variabilité des prix entre artistes bouscule l'ordre esthétique et les jugements de goût, soit que les vicissitudes de la conjoncture économique affectent violemment - comme aujourd'hui - les revenus des acteurs de l'art et, en dernière instance, les possibilités créatives des artistes. Que le marché des œuvres enfle ou qu'il se rétracte, la représentation domine d'une passivité de l'art face à la fatalité apparente de l'économie. Il faudrait défendre la création la plus indépendante, ne pas céder aux sirènes de l'argent et aux pressions productivistes, ne pas être dupe des inflations spéculatives et résister aux arbitraires marchands ou bien encore se rétracter autant qu'il est possible des relations de marché, etc. Il s'agit à chaque fois de réagir, mais nulle part, ou presque, il n'est question d'agir, c'est-à-dire de transformer, autrement qu'à sa marge, l'économie.Nulle part, sauf peut-être chez les économistes eux-mêmes qui, plus nombreux depuis quelques années, s'intéressent de près aux marchés de l'art et de la culture parce que les transactions n'y semblent pas soumises aux lois de la théorie économique standard. Comment expliquer, par exemple, qu'une hausse considérable du prix d'une œuvre, loin de décourager la demande, puisse l'accroître ? Et comment comprendre qu'un jeune artiste inconnu et sans attache puisse, de l'autre côté du marché, tout de même trouver preneur ? Parce que la production et la consommation d'art déjouent les régularités ordinaires de l'offre et de la demande, l'art fait encore figure de mystère pour les économistes. Le fonctionnement des marchés de l'art témoigne ainsi de l'ancrage social et matériel de tout échange marchand, la plupart du temps oublié ou dénié : plusieurs intermédiaires sociaux et techniques (galeristes, commissaires, critiques, mécènes, plateformes internet, etc.) sont nécessaires pour que se forment des préférences et des consommateurs. En rendant plus visibles des mécanismes moins perceptibles sur d'autres marchés, le monde de l'art permet ainsi de renouveler l'analyse de leur fonctionnement le plus concret. Ainsi, à défaut d'agir déjà sur l'économie, l'art est en train de changer une partie de la science économique.
Avec leurs outils spécifiques, les artistes, aussi, interrogent la vie économique et le savoir censé en rendre compte. On se souvient de la critique de l'économie politique de l'art conceptuel anglais et américain ou de la critique institutionnelle allemande autour de Hans Haacke. On se souvient peut-être moins que Robert Filliou écrivit des rapports économiques avant de se tourner vers la création et de formuler artistiquement une nouvelle théorie de la valeur. L'argent et les mécanismes économiques ne sont pas seulement des repoussoirs pour les artistes contemporains : ils peuvent constituer des thèmes légitimes d'investigation et d'invention, comme en a témoigné, récemment aussi, la publication, passée largement inaperçue en France, du livre-catalogue Money (London, Thames & Hudson, Artworks series, 2004) de Katy Siegel et Paul Mattick Jr.
L'enjeu de cette séance est de revenir, avec deux protagonistes impliqués, sur ce double mouvement d'économistes tournés vers les transactions des mondes de l'art afin de développer une approche plus réaliste des marchés et d'artistes représentant, détournant et se réappropriant la théorie économique, ou bien les interactions sociales des marchés, afin de développer une création plus consciente de ses entraves comme de ses possibilités.

LAURENCE CORNER'S BOOKS


Le coin de lecture de Laurence CATANZARO lève cette part de mystère sur la vie(sexuelle) des grands écrivains..et il faut avouer que le livre de Marc LEFRANCOIS va cartonner
Marc évoque cette part de l'intime qui montre l'écorchure vive de ces êtres qui vivent sur le fil du rasoir dans une ligne de partage entre frissons et gloire.
LeMagChic donne la parole à l'auteur:"Je me suis dit que cela pourrait me servir à quelque chose. Le problème était celui de la mise en page et du traitement littéraire. Comment présenter cela sans que cela fasse aussitôt dictionnaire d'anecdotes graveleuses ? J'ai alors pensé que la forme de l'essai était sans doute la meilleure pour traiter ce genre de sujet. Non pas l'essai universitaire et prétentieux auquel j'aurais pu prétendre de par mon passé d'ancien « chercheur en littérature » (qui a beaucoup cherché mais rien trouvé) mais plutôt un essai un peu décalé... Peu à peu, s'est donc mis en place la forme de ce livre qui sort actuellement et que j'ai beaucoup de plaisir à présenter maintenant. Il est publié aux éditions La part commune, une maison sérieuse ayant une très bonne réputation littéraire".
Trouver son livre dans une librairie proche de chez vous en allant sur le site Place des Libraires

lundi 16 mars 2009

HUMOUR TOUJOURS


L'autodérision ou l'humour seront les antidotes de la crise et seule la crise de rire sera bien perçue.Sacha Guitry ne disait-il pas je me dépêche d'en rire de peur à avoir en pleurer!
Agnes Abecassis a tout pour elle et surtout le don de nous aider à relativiser nos lisères.
Aux Edtions Calmann Levy

samedi 14 mars 2009

SORTIE IMMINENTE


Sur l'agenda de Laurence CATANZARO le limier literraire du MagChic,
La Librairie Comme Un Roman...et Karine Henry vous invitent à rencontrer: Tatiana de Rosnay
à l'occasion du lancement de son nouveau roman
Boomerang ( Ed Héloïse D' Ormesson ) ainsi que de la parution livre en poche de MoKa.

LE SALON DU LIVRE

Difficile de passer sous silence cette manifestation importante au cours de laquelle la population des lectrices et lecteurs va à la rencontre de celle des auteurs
Salon du livre du 13 mars au 18 mars 2009 à la Porte de Versailles (Paris)

vendredi 13 mars 2009

LA SEMAINE ITALIENNE DU MAG CHIC:FLORENCE

Connaissez vous Florence?? quand on a connu Florence on n'aime plus les choses comme avant.Matrice des sentiments elle est belle au lever du soleil,brûlante dans la journée et le soir elle vous transporte dans ces crépuscules interminables...jusqu'au terme de la nuit.
Voir Florence et mourir mieux vaudrait dire...ce souffle de la renaissance qui fait de vous un personnage plus cultivé,courtisée et fréquentée par les gens de goût elle vaut le détour....un carnet de voyage ne suffirait pour décrire le transport du bonheur de la découverte,c'est Florence for ever

jeudi 12 mars 2009

FEED BACK DE LECTURE


Renaud Delescaut donne son avis sur le premier roman de Maud en des termes touchants de sincérité.
J'ai enfin pu terminer le roman de Maud Lethielleux. Non pas que je me sois forcé loin de là. C'est juste que j'ai moi-même beaucoup de lecture et de relectures et que lire un roman à l'heure actuelle me demande beaucoup d'efforts.
Que dire ? Que c'est un roman de plus ou qu'un nouvel auteur est né ?
Je vais opter pour la seconde solution. L'histoire est bien ficelée, lorsque l'on commence, il est difficile de s'arrêter. Souvent l'heure tardive dissuade de le terminer d'un coup. Je regarde l'heure et que vois-je ? Cinq heures du matin, fichtre ! C'est pas grave, je l'aime bien Ninon j'ai envie de l'adopter moi aussi, qu'elle me fasse découvrir la nature et la vraie, à moi le citadin, qui croit que l'eau ne peut venir que d'un robinet, qui ne conçoit pas une journée sans électricité... Qui croit qu'une sieste dans le parc des Buttes-Chaumont c'est le summum de la bucolie...

Ce qui m'a le plus impressionné, c'est la facilité des descriptions à travers les yeux de Ninon... Tout est limpide, j'imagine la maison dans ce bois comme si j'y étais déjà allé...
Je mesure le travail qui a dû être celui de l'auteur afin d'inventer le langage de la petite de 9 ans.
Voilà, je donne mes impressions à chaud...
Quand j'étais enfant, je demandais à ma mère en quoi un livre était très bon. Elle me répondait : "Quand tu le refermes, si tu repenses aux personnages, s'ils te manquent, si tu les a aimé comme si tu les connaissais, dans ce cas ce livre est excellent..."
Ce dont je suis certain, c'est qu'une fois refermé, ce livre m'habite toujours...

BOOK'S CORNER DE LAURENCE


L'actualité de Laurence est riche Sortie du Roman de Thierry COHEN,Laurence dévoile le titre ce matin.

mercredi 11 mars 2009

FRANCOIS LEBEL L'OEUVRE


LE BUT
Réunir dans tous les domaines ou secteurs de la vie publique ceux qui font l’actualité d’aujourd’hui et de demain pour une exposition des 1000 & 1 personnes vivant en France.
Proposer aux Français un grand tableau « vivant » de la France dans une exposition pour une image intimiste et authentique sans strass ni paillettes.

LE MESSAGE
Promouvoir la diversité, la solidarité, la tolérance en faisant resplendir ces visages d’une nouvelle France, une France richissime de ces 1000 & 1 Célébrissimes.
Encourager ces artistes et leaders d’opinions qui marquent notre époque et laisseront sans aucun doute une trace dans notre société grâce à leurs combats, leurs engagements, leurs actions mais aussi en phase avec notre époque par leur participation à une oeuvre collective dénuée de préjugés, à vocation apolitique et humaniste.

LES PORTRAITS
Les portraits sont en noir et blanc au format italien (dans le style des studios Harcourt), naturels et spontanés reflétant la personnalité de chaque célébrissime.
Les prises de vues des « 1000 & 1 Célébrissimes de France » ne durent qu’une heure et demie par personne. Elles ont lieu au studio-domicile du photographe uniquement sur rendez-vous.
Concernant l’utilisation des photos, chaque célébrissime doit signer un droit de cession à l’image au photographe puisqu’il s’agit d’une exposition destinée au grand public.
Les prises de vues sont gratuites et chaque personne reçoit en fin de séance un CD-Rom en haute définition avec la possibilité d’en user librement.

UNE EXPOSITION ET UN LIVRE
Une exposition est prévue à Paris pour 2009 avec un grand vernissage rassemblant de nombreuses personnalités dont des professionnels. D'autres villes et lieux d'expositions accueilleront ensuite cette exposition en France et à l'étranger. Suite logique de l'exposition, un ouvrage regroupant « les 1000 & 1 Célébrissimes de France » traduit dans plusieurs langues sera publié avec à la clé, une interview de chaque personne. Une partie des bénéfices sera reversée à une grande oeuvre caritative et humanitaire française

FRANCOIS LEBEL UN NOUVEAU HARCOURT


FRANCOIS LEBEL

PHOTOGRAPHE PORTRAITISTE INDEPENDANT
Né le : 19 janvier 1956 à Paris.
Tél. : +33 (0)6 27 59 40 87 - Mail : larkspur@hotmail.fr

François Lebel, est un touche-à-tout de l’Art (dessin, peinture, sculpture) et un artiste complet autonome et solitaire. Dans sa jeunesse, il s’oppose aux formations artistiques établies, croit à l’autodidaxie et au talent inné et refusera toute école. Fermement convaincu que la photo est l’oeil du siècle, il commence sa carrière photographique à l’âge de 16 ans. N’acceptant aucune collaboration dans ce domaine autre que celle de la découverte par lui-même du monde à travers le prisme de l’objectif.
S’essayant rapidement à la couleur, c’est dans le noir et blanc qu’il trouve son langage, photographiant les rues après la pluie, ce qui donne une atmosphère lourde, mais qui porte déjà son empreinte.
Travaillant sur divers sujets, il collabore dans un premier temps avec le monde de l’architecture et de la publicité, puis de l’Art dans des expositions avant-gardistes. Il est l’un des premiers photographes dans les années 90, a utiliser le numérique avec un boitier possédant un capteur de 250 000 pixels (seulement à l'époque) et réalise une toute première exposition à Paris, portant uniquement sur l’oeil ou le regard.
Affirmant son style et sa patte, il commence à travailler dans le monde de la mode et du fashion, laissant de côté le numérique en attente d’unevraie évolution technique.
À l’explosion du numérique, il entame une carrière de photographe booker et se fait connaître dans la réalisation de books et de composites pour les intermittents du spectacle et les mannequins. Puis réalise ses premiers body-painting mettant en scène les costumes du 17e et 18e siècles dans un art éphémère, dont le numérique garde une mémoire photographique.
En quelques années, François Lebel confirme son oeuvre dans le noir et blanc et le numérique, artiste total
possédant un sens des ombres et de l’obscure, il travaille sur les corps et le nu, mais son cheval de bataille est sans conteste les visages et les regards. Toute sa thématique obsédante est une vraie redécouverte de force et de maturité qui peut donner aussi bien une violence inouïe qu’une sensualité acerbe.
Aujourd’hui, c’est vers les célébrissimes qu’il se tourne pour mettre son talent au service d’une oeuvre de l'imaginaire collectif, comme il se plaît à le dire. Ce projet n'est autre qu'un tableau vivant de notre époque, une trace de ceux et celles qui font l’actualité à ce jour en France. Il est, et sera sans conteste, un
grand portraitiste de notre époque, celui qui posera un nouveau regard sur nous.
1000 personnes prises en photo dans le même studio et les mêmes conditions de travail en 1, 2 ou 3 ans sur une population choisie est une œuvre collective monumentale et forte, un travail remarquable sur l’humain, un happening tout à fait en phase avec notre époque.

Offrir un beau regard sur des gens qui agissent qui font des choses qui entreprennent et font avancer les choses, c’est vraiment une belle idée qui n’est pas futile ou à la mode, mais profondément humaniste.

François Lebel : et si le siècle nouveau avait trouvé son portraitiste ?

BOOK 'S CORNER DE LAURENCE


Laurence Catanzaro la "liseuse" du MagChic a le talent pour repérer les nouveaux talents ,en signalant la sortie du 2ème roman livre du lyonnais Thierry Cohen,après J'aurais préféré vivre (Prix Jean d'Ormesson) et l'ouvrage de Maud Lethielleux,une gueule d'amour bien pleine,qui fête la sortie de son 1er roman dont le résumé nous est décliné.
Le samedi après-midi, Zélie nous donnait le bain et nous mettait du sent bon. Une fois elle s’est maquillée mais Fred a dit quelque chose, elle a pleuré et le noir a coulé, alors elle a tout essuyé. Agathe voulait faire pareil. Moi j’ai dit comme Fred le mot rigolo qui fait le même son que quand on crache un noyau de cerise : Pute. Agathe a rigolé et elle a répété le mot en tournant sur elle-même. Moi aussi j’ai ri. J’aime bien les nouveaux mots. Ça me donne vraiment l’impression d’être une grande. Ce soir-là, Zélie était très triste. Quand elle est triste, elle pense à son père et elle dit que les hommes, c’est tous des pervers. Je ne sais pas trop ce que ça veut dire, mais je la laisse se défouler avec les mots et après, elle me sourit comme si j’étais sa meilleure copine.
Pendant les fêtes, Fred et Zélie ont commencé à ne plus rire ensemble. Ils riaient contre eux. Zélie restait dans la cuisine avec ses copines et Fred fumait sur le canapé et il ne rigolait pas du tout sauf quand elle s’approchait. Là, il chuchotait un truc tellement drôle que ses copains s’écroulaient par terre ou lui demandaient de répéter parce qu’ils n’étaient pas sûrs d’avoir compris et ma mère retournait dans la cuisine. Ou alors, c’était le contraire. Mais les filles étaient plus messe basse, elles riaient dès qu’il avait le dos tourné. Après, elles parlaient avec un air très sérieux qui ne laissait rien présager de bon.
Un peu plus tard, tout le monde s’est mélangé à nouveau. Les copains de Fred aimaient beaucoup discuter avec ma mère. C’était peut-être à cause du maquillage qu’elle avait décidé d’assumer. Et Fred, il a commencé à chanter des chansons d’amour avec sa guitare, les filles venaient l’écouter. Il s’installait dans une chambre ou une petite pièce éclairée d’une bougie. La mélancolie lui allait bien.
C’est comme ça que tout a dégénéré. Un jour, Fred n’a pas voulu rentrer à la maison. Zélie nous a ramenées avec la voiture qu’elle ne savait pas bien conduire, son maquillage avait coulé et je lui ai dit :
― T’es belle avec ton noir de pute.
Agathe a ajouté que oui, elle était trop trop belle, la plus belle du monde. Et elle a dit le mot en riant très fort. Zélie a mis les essuie-glaces, je lui ai dit qu’il ne pleuvait pas, elle a essuyé sa joue toute peinturlurée et on est rentrées. Ce soir-là, il faisait froid (Fred avait encore oublié de bourrer le poêle). On s’est couchées toutes les trois ensembles dans le grand lit et Agathe a murmuré :
― C’est bien quand il est pas là, Fred.
Zélie a eu l’air d’accord, elle nous a fait un énorme câlin. Quand on s’est réveillées, Fred dormait par terre, sur le tapis au pied du lit.
Mes parents sont très équitables, alors le samedi d’après, on est rentrées à la maison toutes seules avec Fred. Il n’a pas voulu dormir avec nous. Il nous a laissé le grand lit et il s’est assis devant la cheminée en fumant une roulée.
Cette nuit-là, ma mère a rencontré l’amour qui dure. Et elle n’a plus jamais été la même.

lundi 9 mars 2009

ROBERTO BENIGNI DI FIRENZE AL DANTE!!

Photo Le Figaro

Quand on aime Florence on a du mal à oublier la Citta Bella mais souvent on ignore que RobertO Benigni est de ses plus illustres natifs,il a l'avantage de ne pas nous faire remonter à la renaissance!
Roberto Benigni a fait une escale en France pour deux représentations exceptionnelles de son one-man-show «Tutto Dante».Le mot exceptionnel n'est pas galvaudé.
Andiamo al teatro al Rex in Parigi
Forza Benigni

dimanche 8 mars 2009

LA SEMAINE ITALIENNE DU MAG CHIC


Quand crépuscule rime avec Janicule photo issue d'un super reportage photo d'Arnaud Frich.A cet égard je recommande la visite du site de cet excellentissime photographe(photos de Rome et de bien d'autres villes du monde,suivre le lien http://www.arnaudfrichphoto.com

samedi 7 mars 2009

LE DERNIER COMBAT NEW YORKAIS


Je suis triste de clore cette semaine newyorkaise en dressant un acte clinique qui n'est pas un acte de décès mais une mise en coma économique.
Un bastion de la culture LA LIBRAIRIE DE FRANCE à New-York française que je fréquentais régulièrement dans le Rockfeller Center,est en passe de disparaître.
Emmanuel Molho, le patron de la Librairie de France, a annoncé la fermeture, pour 2009, de cette institution culturelle New Yorkaise. Le loyer exorbitant aura eu raison de la passion.
Le bail arrive à échéance en septembre et la société propriétaire de l'immeuble de la 5e avenue augmente le loyer, actuellement de 360.000 dollars, à 1 million par an. Ce qui s’ajoute au fait que le prix des livres vendus n'est pas de nature à encourager les acheteurs, en tout cas pas les passants qui sont dans le quartier essentiellement pour faire leur shopping dans les boutiques de vêtements, de cosmétiques ou d'électronique. "Evidemment nous vendons 20 dollars un livre qui coûte 5 euros à Paris, mais les frais d'envoi existent aussi lorsqu'on commande sur internet, non, ce qui a changé c'est toute la culture de la librairie, et le Rockefeller Center est devenu un simple centre commercial", explique Emmanuel Molho, le septuagénaire qui gère la librairie familiale avec ses deux enfants.

C’est son père, Isaac Molho, qui avait créé l’établissement. Arrivé aux Etats-Unis en 1928, il avait rencontré à Paris des responsables de l'éditeur Hachette. Invité à ouvrir une librairie par David Rockefeller, qui tenait à voir des Européens occuper les bureaux situés dans son immeuble, il lança l'affaire en 1935. Pendant la guerre, la librairie se doubla d'une maison d'édition, "La Maison Française", qui publia des auteurs fuyant le nazisme comme André Maurois, Jules Romains ou Antoine de Saint-Exupéry.

"Les années 60 ont été les plus glorieuses, la langue française était à la mode, nous avions cinquante salariés, nous importions deux tonnes de livres par semaine, qui arrivaient avec la Compagnie générale transatlantique, à bord de paquebots comme le France", raconte Emmanuel Molho. "C'était un salon autant qu'une boutique: les clients étaient des Américains francophiles, des Sud-Américains francophones de passage, ils restaient pour bavarder, à l'époque on commandait 3.000 exemplaires au moins du dernier Prix Goncourt, aujourd'hui quelques dizaines tout au plus", se souvient-il.(Source Europe 1)
Tous les medias se sont emparés de cet évenement,Ouest France entre autre (photo d'illustration)Europe 1,le Monde et même un groupe s'est monté sur FaceBook!

Déjà en 1993, une deuxième librairie française, située au sud de Manhattan, avait fermé ses portes. Et en 1994, la librairie française de Los Angeles a également cessé toute activité.

Emmanuel Molho va prendre sa retraite à New York et peut-être "se mettre au piano", laissant à sa fille le soin de perpétuer les affaires familiales sur un site internet.
Il est urgent de faire une action.J'entame mon introspection en sollicitant l'appui de Valérie Pécresse.

vendredi 6 mars 2009

LES FILLES D'AUJOURD'HUI ...


....seront les mères de demain.En cette veille de la journée internationale,François GROSLIERE ne pouvait pas rendre plus bel hommage aux femmes.Ils les aiment comme elles sont et elles sont parfois comme il les aime.

BOOK 'S CORNER DE LAURENCE


Laurence Catanzaro a acheté et aimé ce livre.
Ebtretien avec l'auteur et propos sur le vif,un appel de la jeunesse:

"Parce qu'être un jeune auteur, ce n'est pas facile... parce que se faire connaître, c'est un enfer... parce que les journalistes littéraires sont plus difficile à convaincre qu'un eskimo qui regarde un frigo... ce groupe est fait pour diffuser la "bonne" parole :-)

Plaisanterie mise à part... au final... je suis plutôt fier de ce livre... et tant qu'à faire, autant que je vous en fasse profiter !!!"

Pour vous le procurer, le plus simple est de cliquer sur l'un des deux liens ci-dessous (ou de recopier le lien) :
http://livre.fnac.com/a2063490/Gael-Chatelain-Les-solitudes-additionnees
(Les Soitudes Additionnées ont été sélectionnées comme coup de coeur FNAC.com !!!) Livraison Gratuite et en 24h00 !!!

Ou bien sur Amazon, (avec les premières pages du roman en lecture...) : http://www.amazon.fr/gp/product/2749907861/ref=sib_rdr_dp

jeudi 5 mars 2009

WELCOME...AUDREY DANA


NEW YORK fut jadis une terre d'accueil et les flux migratoires n'ont jamais cessé avec la même cause:la misère humaine.
Welcome est super film qui remet le débat au coeur de nos consciences en le plaçant toutefois à deux pas de chez nous de l'autre côté du Channel...vers Londres.
Pour impressionner et reconquérir sa femme, Simon, maître nageur à la piscine de Calais, prend le risque d'aider en secret un jeune réfugié kurde qui veut traverser la Manche à la nage.Cette femme dans le film est Audrey Dana qui conforte le rédaction du MagChic dans le coup de coeur qu'il avait eu pour Audrey il y a de celà un mois,avant que le film ne sorte.
Ancré dans la certitude ,dans son coup de coeur pour Audrey Dana,d'avoir cité une bonne actrice MagChic(voir le post du 8 février) est heureux de son choix qui n'est pas que subjectif...le talent est au bout de cette nage!

mercredi 4 mars 2009

HARVEY MILK DE WALL STREET A SAN FRANCISCO


Harvey Milk,le vrai
Une fois de plus tout est parti de New York d'un jeune trader dans les années 70,Gus Van Sant narre l'histoire d'un homo qui a fait avancer la cause gay.Harvey Milk fut conseiller municipal à San Francisco et connut une fin tragiuque avec le maire de cette ville en 1978.Sean Penn y est éblouissant,que dire après l'Oscar du Meilleur du Meilleur Acteur? rien mais faire oui en allant voir ce film!

mardi 3 mars 2009

L'OMBRE D'HEMINGWAY AVEC YATES


En 1961, une bombe explosa dans le milieu littéraire américain. Elle fit voler en éclats les tabous dans une Amérique que la tornade Kennedy tirerait de sa torpeur. Avec Revolutionary Road (bizarrement traduit par La fenêtre panoramique - mais la traduction de Robert Latour gomme beaucoup de la subtilité de ce livre), un certain Richard Yates fit une entrée remarquée en littérature. Kurt Vonnegut et Raymond Carver le hissèrent au rang d'écrivain-culte. James Salter le salua comme «l'un des plus novateurs romanciers d'Amérique». Voilà ce qu'a pu écrire François Busnel de l'Express.On retouve en Yates le souffle scriptural court d'Ernest Hemingway avec son avarice d'adjectifs.
Une redécouverte de cet écrivain culte grâce à une amie Isabelle Perisse est à l'ordre du jour pour un hommage posthume à cette plume hors pair.
« Onze histoires de solitude est un des dix meilleurs recueils de nouvelles écrites par un américain. »
Kurt Vonnegut

Le livre : Écrites entre 1951 et 1961, les onze nouvelles du recueil traitent de ce mal intemporel qu'est la solitude. Il y a la solitude de l'enfant à l'école comme dans « Le docteur jeu de quilles » et « Une petite fête pour Noël ». Les deux nouvelles évoquent la relation potentiellement destructrice qui peut naître entre un élève et son maître. La solitude du malade est aussi évoquée dans « Fini l'an 'ieux, 'ive l'an neuf! ». Dans un hôpital militaire, un tuberculeux tente d'écrire à sa fille qui vient de lui apprendre qu'elle était enceinte.
La grande majorité des personnages des nouvelles de Richard Yates est composée d'outsiders, d'incompris qui sont rejetés par la communauté qu’ils tentent désespérément d’intégrer. Que ce soit dans l’armée (« Quand Jimmy reverra sa brune ») ou dans la rédaction d’un journal (« Contre les requins »), ils luttent pour trouver leur place dans la société. Comme le disait l’auteur, ceux qui réussissent ne l’intéressent pas. Jamais méchant mais sans concession, il préfère pointer les failles d’hommes et de femmes ordinaires souvent victimes des circonstances.
Dans ces nouvelles finement aiguisées et dont les mots sont délicatement choisis, il met aussi en lumière une époque particulière de l’Amérique. Celle où le rêve américain se réalisait enfin et, en même temps, où il commençait pour certains à sonner faux. C’est l’après-guerre, la naissance des banlieues, le conformisme. Les soldats reviennent traumatisés mais sont censés agir comme si tout allait bien. Les jeunes hommes s’accrochent difficilement aux plus basses marches de l’échelle sociale. Ils sont coincés dans des mariages insatisfaisants où la femme, si elle n’est pas secrétaire pour aider aux fins de mois difficiles, attend sagement son mari à la maison (« Sans peur et sans reproche » et « Tout le bonheur du monde »). Enfin, c’est le temps des martinis, des pianos-jazz où il règne comme un arrière-goût de l’époque fitzgeraldienne (« Un pianiste de jazz formidable »).
Traduit de l'anglais (Etats Unis) par Jean ROSENTHAL
Prix public provisoire : 8,90 € TTC

Dans toutes les librairies,les vraies,les bonnes comme celle de Marc-Olivier AMBLARD à Blois

lundi 2 mars 2009

SOUS LE CHARME DE....


Liliane Dawes..ils sont tombés les deux héros Spencer et Gabriel nés de bon lignage(pères fondateurs de la Déclaration d'indépendance),deux frères qui classent les femmes en catégories!Survient cette fille à tomber raide qui porte des robes non encore désignées comme vintage dans un New York des années 50 dont les beaux quartiers transpirent encore le souvenir.
Côïncidence amusante le blog d'Adelaïde de Clermont Tonnerre évoque ce livre aussi vous pourrez apprécier la critique du livre sur son blog en suivant le lien sous le charme de Liliane.
Dawes
Adelaïde peut revendiquer l'antériorité et bravo pour son flair que je confimre
Coup de coeurg également dans le Magazine Elle Spécial Mode,décidemment le succès frappe à la porte de Katherine
L'auteur de cet bouquin sympa est Katherine Mosby qui collabore à la fois au New Yorker et à Vogue
Prof à l'université de Columbia elle a eu l'honneur de voir son livre (le 3ème ouvrage)proposé pour les sélections du National Book Award et le prix Pulitzer
Aux éditions Quai Voltaire

CHARLELIE ET NEW YORK SOUS TOUTES LES COUTURES


Charlélie Couture a commis un ouvrage photos sur New York qui ne peut que lui renvoyer sa propre image:cool,accessible,brillante et talentueuse.Cette oeuvre sort le 8 mars 2009.
Le site de Charlélie ne peut pas ne pas se visiter!!!!!suivez le lien sur les Traces de Charlélie in Manhattan
La galerie Baudoin Lebon présente pour la première fois les œuvres de CharlElie Couture. L’artiste s’est inspiré de New York, ville dans laquelle il s’est installé en 2004 et qu’il a photographiée. Les photographies sont tirées sur bâches, support sur lequel il a ensuite dessiné tels des graffitis, écritures et signes clandestins s’appropriant les lieux publics.
Galerie Baudoin Lebon
38 rue Sainte Croix de la Bretonnerie
75004 Paris - France
Tél. : +33 (0)1 42 72 09 10
Fax : +33 (0)1 42 72 02 20

Site Internet :
http://www.baudoin-lebon.com
A cette occasion, signature du livre « New York by Charlelie » aux éditions du Chêne (192 pages, 150 illustrations, 39,90 €).
L'exposition commence le 12 mars pour se terminer le 25 avril 2009