UN MAGAZINE CHIC,CHOC ET CHARME
Un magazine jamais vendu en kiosque,uniquement lu sur le net pour et par les écrivains et tous les artistes aimant l'art du bien vivre et qui veulent lire en musique.
Chic,choc et charme
samedi 27 février 2010
L'AME TSIGANE
LIBERTE CHERIE OU L’AME TZIGANE
Avec Tony Gatliff âme tzigane, ne partira jamais malgré le goût de cendres laissé par les nazis
Voir son film c’est se laisser envelopper par cette insouciante légèreté du violon et découvrir le petit fils de Charlie Chaplin dans une performance d’acteur.
James Thieree crève nos cœurs et l’écran dans cette campagne auvergnate que beaucoup de compatriotes ont sillonnée.
Le réalisateur a définitivement exorcisé mes peurs enfantines des romanichels que bien des parents agitaient comme pour faire peur et se faire craindre..P’tit Claude avait plus de hardiesse.
Le film ????? Un enchantement !!!!
Théodore, vétérinaire et maire d’un village situé en zone occupée pendant la seconde guerre mondiale, a recueilli P’tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre. Mademoiselle Lundi, l’institutrice fait la connaissance des Tsiganes qui se sont installés à quelques pas de là. Ils sont venus pour faire les vendanges dans le pays. Humaniste et républicaine convaincue, elle s’arrange, avec l’aide de Théodore, pour que les enfants Tsiganes soient scolarisés. De son côté, P’tit Claude se prend d’amitié pour Taloche, grand gamin bohémien de trente ans qui se promène partout avec son violon sur l'épaule. Mais les contrôles d’identité imposés par le régime de Vichy se multiplient et les Tsiganes, peuple nomade, n’ont plus le droit de circuler librement : Théodore cède alors un de ses terrains aux bohémiens, désormais sédentarisés. Tandis que les enfants Tsiganes suivent les cours de Mademoiselle Lundi, P’tit Claude est de plus en plus fasciné par le mode de vie des Bohémiens – un univers de liberté où les enfants sont rois. Mais la joie et l’insouciance sont de courte durée : la pression de la police de Vichy et de la Gestapo s’intensifie et le danger menace à chaque instant. Comme ils l’ont toujours fait depuis des siècles, les Tsiganes devront reprendre la route…
Marc Lavoine est très crédible en vétérinaire et beaucoup de spectatrices regretteront qu’il ne visse pas sa plaque de toubib dans leur quartier.
La scène culte que je me repasserai en boucle pour évacuer les impuretés de l’existence est celle ou la bohémienne chevauche dans la contrée avec Marc Lavoine qui roule sur sa moto, debout comme un homme de cirque, Taloche (James Thiérée) qui exprime la pureté de sa joie.
Une tache brune avec la couleur bleue des uniformes de la police française qui alimentait les convois vers les camps de la mort m’a rappelé que l’histoire bégaie.
S’il vous plaît messieurs les zélateurs des expulsions allez voir ce film vous y verrez vos ancêtres, les miens étaient sous les traits de Mademoiselle Lundi …j’y ai revu l’histoire de ma maman. A chacun son histoire !!Finalement c’est une question de choix…le mien est fait
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En ce moment sur les écrans (sortie du 24 février 2010)
mardi 23 février 2010
COUP DE COEUR MAG(alie)CHIC
Mon coup de coeur..ce petit bout de femme qui nous envoute sur scène.
Berry fait ses débuts artistiques à seize ans dans la comédie. Elle se produit dans de nombreuses pièces, notamment dans Les Femmes savantes, sur une mise en scène de Béatrice Agenin. Dans le même temps, elle se produit dans des cabarets, où elle rencontre Manou, un compositeur de jazz. Avec lui et Lionel Dudognon, ils se produisent sous le nom de scène de Berry en référence à la région d'origine de George Sand. Ils créent une maquette en vue de démarcher des maisons de disque, mais c'est par l'intermédiaire d'amis qu'un directeur artistique d'Universal est amené à l'écouter et les fait signer. Le premier album de Berry, Mademoiselle, sort en 2008. Les singles qui en sont extraits sont Le Bonheur, Demain et Mademoiselle, la chanson titre de l'opus.
Berry c'est vraiment du bonheur pour nos oreilles....
Magalie Destailleur
Berry fait ses débuts artistiques à seize ans dans la comédie. Elle se produit dans de nombreuses pièces, notamment dans Les Femmes savantes, sur une mise en scène de Béatrice Agenin. Dans le même temps, elle se produit dans des cabarets, où elle rencontre Manou, un compositeur de jazz. Avec lui et Lionel Dudognon, ils se produisent sous le nom de scène de Berry en référence à la région d'origine de George Sand. Ils créent une maquette en vue de démarcher des maisons de disque, mais c'est par l'intermédiaire d'amis qu'un directeur artistique d'Universal est amené à l'écouter et les fait signer. Le premier album de Berry, Mademoiselle, sort en 2008. Les singles qui en sont extraits sont Le Bonheur, Demain et Mademoiselle, la chanson titre de l'opus.
Berry c'est vraiment du bonheur pour nos oreilles....
Magalie Destailleur
UN FILM REHABILITE PAR OLIVIER D FOR MAGCHIC....SUBWAY
Bel hommage à Besson et surtout brillant plaidoyer d'Olivier D. qui s'inscrit dans la ligne éditoriale de MagChic qui aime utiliser son temps utile à construire son regard positif sur une oeuvre plutôt qu'à démolir.
"Its' only mistery, and I like it." Apparemment, le critique de Télérama qui ne voit dans ce film qu'un "clip géant", est , après Le Grand Bleu, encore passé à côté. A force de ne pas vouloir rentrer dans l'univers Besson, il se contente d'une analyse péremptoire et conformiste, pour tout dire conservatrice sur un petit chef d'oeuvre qui, en 1985, avait pourtant une plastique dépoussiérante, voire décapante.
Un punk au style "dandy branché", à l'autisme musical décalé comme un greystoke dans une assemblée d'aristicrate anglais.
Un hercule africain, métallurgie en sous-sol qui nous joue un morceau de péplum anachronique.
Un indien dans la cité souterraine, avec des pieds à roulettes, sillonne comme un serpent de mer cette aquarium métropolitain.
Bachri qui fait la gueule et Galabru qui bougonne, au diapason des grands classiques.
Le métronome à lunettes donne naissance au mythe Jean Reno, comme un coup de baguette magique. Boringher nous fait découvrir sa douce voix rauque et que, c'est beau un métro la nuit.
Un homme de main à la carrière courte lance la mode de la barbe de trois jours et disparait sans bruit des annales du cinéma.
Un chanteur black dont les joues ruisellent, mystère de ces glandes lacrimales quand les cordes vocales s'en mêlent...
Adjani tient là pour moi un de ses plus beaux rôle en incarnant un décalage, non plus horaire mais cosmique, dans la crasse urbaine de ce théâtre à ciel couvert. De la coquille grisâtre du métro parisien elle fait un écrin à sa beauté, elle joue les extra-terrestre dans un monde de taupes, élégante et délurée, elle nous fera toujours rêver. Pour gagner les hauteurs de l'amour, elle descend de son piedestal, pour reprendre une bouffée d'oxygéne, elle s'enfonce dans les entrailles de la Terre où d'autres suffoqueraient, pour se libérer de ses chaînes sociales, elle va péter un coup chez le préfet où elle orchestre un scandale d'anthologie. Coupe iroquois et tailleur haute couture, cocktail explosif qui détonne dans son univers rangé qu'elle se charge de déranger de sa provoquante beauté.
Bande originale signée Eric Serra qui sonorise cette historiette sans prétention de musicos non prétentieux, un sans faute, c'est papier-musique!
Olivier Defouilloux
lundi 22 février 2010
dimanche 21 février 2010
SUR LA ROUTE DE MADISON AVEC OLIVIER D. FOR MAG CHIC
MagChic portera bientôt un regard élargi sur la mode mais en attendant le cinema arrive dans notre sphère avec une plume qui vous emmenera sur les traces des films souvent brocardés par les élites et les critiques
MaGChic ouvre des colonnes à Olivier DEFOUILLOUX
Superbe!!
C'est souvent de cette manière que l'on crée le mieux une véritable intensité dramatique, en donnant une fausse lenteur, un rythme tout en retenue, des dialogues faits de banalités mais avec des regards qui ne trompent pas. Les personnages sont noués, leur libération progressive est préssentie dès le début du scénario, les masques vont bientôt tomber, la sortie du tunnel est proche, le hasard semble avoir rendez-vous avec la nécessité.
Alors quand sur un air de Blues (Madame connaît le numéro de la station FM, l'aurait-elle oublié en d'autres circonstances...), elle accepte cette "autre" cigarette, on sent que tout bascule lentement mais irrémédiablement, le jazz est donc bien cette musique diabolique. Lui ne peut maintenant plus qu'accepter ce thé glacé qui le fait entrer dans la maisonnée, désertée pour l'occasion, où plutôt soudainement habitée par des êtres épris de désir.
Comment en vouloir à cet inconnu, séduisant vagabond, de faire chavirer le coeur de cette femme abondonnée par son entourage, cortège de fantômes, pour un accès à l'impévu, terminus de l'ennui. L'amour c'est peut-être cela : éplucher des carottes en duo comme d'autres font du tandem à vélo, et le faire machinalement, la tête dans les rêves de l'autre, comme une pensée d'étoile...
Cette Dame qu'incarne Merryl Streep n'a rien de la paysanne convenue qui aurait sa place dans ce coin perdu d'une Amérique engluée dans un conservatisme au teint blafard. Elle dégage un air de grande féminité, juste assoupie par une vie trop morne mais qui ne demande qu'à se réveiller au moindre chant d'amour. Elle a simplement besoin d'un léger souffle d'air dans les voiles, comme cettte brise d'été qui soulève sa robe, un lever de rideau sur une sensualité retrouvée. Troublante scène où cette femme redécouvre son corps, oublié pour sa grâce naturelle, en sommeil de ses pulsions, caché à sa propre conscience.
L'oeil du photographe, irrésistible Clint poivre et sel, lève le voile sur la beauté sensuelle retrouvée de cette femme entre deux âges et débordante d'un érotisme vrai, tout en pudeur. Et son imagination lyrique offre le plus beau des voyages, celui dont rêve toutes les femmes, qui vous arrache à la réalité pour mieux se retrouver, à cette altitude où nous ne sommes plus tout à fait les mêmes, mais tellement plus nous-même!
Alors, Messieurs, si votre femme devait croiser un mâle de cette trempe, même si ce dernier est plus âgé que votre père, priez le ciel d'avoir été suffisament attentif à votre belle, car en toute femme sommeille une muse, et qui s'en plaindra?
Olivier D. (15 fev 2010)
jeudi 18 février 2010
NIKY DEPASSE FOR MAGCHIC
Comme une offrande...comme un partage MagChic donne la parole à Nicky
A l'aube dès le réveil, le jour est impatient.
Comme une guirlande de séduction,un miroir qui reflète. Le vent parle de ma solitude équilibre instable face à ma destinée.
Sur le fil qui me relie à toi, c'est le silence des sentiments qui s'écrasent sur le sol et ne peuvent plus remonter. Un chagrin trop lourd sur le fil... d'amour.
Fragments d'émotion, l'objectif de mes pensées"
A paraître.
Extrait Texte Nicky Depasse
Photo de Gianni Candido
http://www.candido.org/-
mardi 16 février 2010
dimanche 14 février 2010
HAPPY ST VALENTINE'S DAY
Don't stay alone with MagChic
Jamais seul(e) avec MagChic
Karaoké géant de 13 000 personnes !!!
envoyé par G-Ice. - Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.
samedi 13 février 2010
FOG OU BROUILLARD????
LE FOG SE LEVE POUR RENDRE LES HOMMES MOINS BETES
Un très grand amour ..une idée pour la St Valentin ????
La vie de Franz Olivier GIESBERT ne laisse personne indifférent….Pour avoir croisé le personnage lors du lancement du livre de Shan Sa (ex secrétaire de Balthus) j’ai pu mesurer ce qui pouvait agacer les hommes.
Séduisant et séducteur aucune femme n’échappait à son regard…les aurait il trop aimées ??
Elles l’on aimé au point qu’il a fait son introspection dans son roman « Un très grand amour »
Dans une expiation provoquée par la pire des maladies ou un macho (cancer de la prostate) ……j’ai vu cet homme d’un chemin de ronces en faire un chemin de roses. Rachèterait il les hommes dans leur quête de pardon????…il a planté sa croix et son Golgotha, c’est ce livre sublime et bouleversant.Un très grand amour, ce livre se descend d’une seule traite (en une nuit)
.
La vie des hommes est un théâtre et FOG a dissipé le brouillard de son existence pour être au premier rang le spectateur de sa propre vie.
La maladie d’amour est plus dévastatrice que la maladie tout court….elle conduit vers des choix irrationnels Lorsque le narrateur découvre qu’il est atteint d’un cancer de la prostate, il décide, pour préserver sa virilité, de refuser l’ablation chirurgicale. Aux yeux de sa compagne, il prend la mauvaise correspondance et se trompe de quai.
Isabelle l’héroïne paraîtra bien antipathiques aux hommes qui ont la malchance de trouver leur alter ego à travers ce miroir sans tain
En cette veille de cette Saint Valentin qu’il transforme en St Barthélemy il venge les femmes plaquées par les mecs, il rachète les hommes en mal de pardon qui se sont plantés.
Combien de gars ont plaqués leur femme pour cause de cancer ????le bilan inverse est moins lourd pour ces femmes à qui nous devons un rapport de force équilibré.
J’ai appris dans ce livre que l’Amour devait être basé sur des rapports équilibrés.
J’ai ressenti un frisson qui m’a rendu subitement vulnérable et très fragile pour perdre son temps avec des souvenirs….pourtant M.Giesbert ce jour là vous aviez daigné me parler..vous l’homme supposé arrogant….j’ai eu le regret de ma vie !!
M’être laissé impressionner par votre posture qui cachait toute votre humanité….nous aurions parlé de Camus, et de Lourmarin qui nous servent décidemment de dénominateur commun.
Par lâcheté les hommes ont peur de rompre tout comme Camus d’ailleurs qui laisser les successions se faire sans les liquider.
Antoine Bradsock est cette veine là et donne envie de plaquer ce livre entre les mains de tous les hommes et aussi entre celle des femmes… Monsieur FOG vous avez réussi une remarquable performance….réconcilier ces deux espèces aux antipodes l’une de l’autre condamnées à vivre ensemble.des amours.sereines ou passionnées.
Extrait du livre
« Sur son lit de souffrances, quelques semaines avant de mourir, maman m'avait mis en garde :
« Qu'est-ce que c'est bête, un homme.
– Je ne comprends pas.
– C'est bête, égoïste et pas fiable. Antoine, promets-moi de ne jamais te comporter comme un homme. »
Je me souviens que j'avais hoché la tête. Encore une promesse que je n'ai pas tenue. Je suis toujours resté à l'affût. Même quand j'étais heureux en ménage, ce qui fut souvent le cas, je continuais à rechercher le très grand amour, celui qui, selon Spinoza, constitue un « accroissement de nous-même ».
C'est exactement la sensation que j' »éprouvais en observant la jeune fille aux cheveux d'or. Je m'accroissais. Je m'élevais aussi
Un très grand amour
• Roman Collection Blanche
• 256 pages
• 17,50 €
• ISBN : 9782070128198
• En librairie depuis le 5 janvier 2010
dimanche 7 février 2010
lundi 1 février 2010
FAIS MOI OUBLIER …OU.....LE DEUIL TUE T’IL LE DESIR ?????,
Quand l’amour naît il vous prend sans détour où ?quand ?comment ?pourquoi ?pour qui ??
Je sors dévasté du livre de Brigitte ….le livre a été lu d’une traite cette nuit…
Le milieu du journalisme sert de carré comme à Waterloo au sein duquel deux couples vivent sans le savoir leurs dernières heures sur une terrasse tiède et estivale en plein Paris
Au loin crépitent les balles de kalachnikov à quelques heures d’avion de là.
Quatre amis, deux couples, dînent sur une terrasse. Ce soir d'été, Louise, la compagne de Léa, se prépare à partir en reportage dans un pays en guerre. Personne n'imagine alors que ce sera la dernière soirée avec Louise et qu'il faudra affronter le deuil et la violence de l'actualité. Roman d'amour, celui d'une femme tiraillée entre l'homme de sa vie et le charme d'une amie qui se retrouve seule
C’est la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine…..vivre avec le désir malgré un deuil ?????
ou vivre avec le deuil en oubliant son désir ???
Lutter contre ses principes pour sauver son ménage avec l’ambiguïté des sentiments qui la font passer de l’empathie à la sympathie et de celle ci à l’amour.
La narratrice s’est prise au piège de la belle endeuillée qui a perdu son amie tuée dans une guerre…pour faire simplement son métier..celui de nous donner les news avec notre café crème.
Ce livre me bouscule en tant qu’homme car la ligne de partage entre l’amitié entre deux femmes et l’amour, tient à l’épaisseur du papier cigarette. Souvent elle est arbitrée par cette infinie sensibilité.et seul le sexe donne la nuance !
Je crois bien messieurs, que Brigitte ne vous a pas laissé beaucoup de place sinon celle du lecteur.On est secoué dans nos certitudes et ramené à l’humilité….des fois je dirais l’humiliation.
Je ne regarde jamais la fin d’un livre.bien m’en a pris …..je n’imaginais pas cette fin…je crois Brigitte que vous nous devez quelque chose…laissez nous écrire chacune et chacun notre fin mais n’est ce pas la force d’un livre que de ne pas fédérer tout le monde sur sa chute.
En fonction de son niveau de compréhension, de ses préjugés, des référents, le lecteur écrira sa fin
Dans un style inhabituel l’ouvrage ne peut laisser indifférent, des tabous se brisent !!!! un livre pour(mieux) connaître les femmes !!!
Brigitte Kernel
Productrice à France Inter et chroniqueuse littéraire, Brigitte Kernel anime de nombreuses émissions : 'Noctiluque', 'Un été d'écrivain'. .. Elle a également participé à de nombreux reportages à travers le monde et a écrit plusieurs romans. Elle collabore depuis quelques années au magazine 'Femme actuelle' pour lequel elle a écrit de nombreuses pièces policières
Edition : Flammarion
Nombre de pages : 274
Genre : Roman contemporain
ISBN : 978-2-0812-0804-9
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