Denzel Washington et Viola Davis stars dans la reprise à Broadway de Fences chef-d'œuvre d'August Wilson sur la race et la famille
Il est des jours où se trouver à NEW YORK vaut la peine..il est des nuits où il faut arpenter Broadway!!
Sur les dix pièces qui composent la fin cycle séculaire ,d'August Wilson qui nous prennent à travers les vicissitudes de la vie afro-américaine au XXe siècle, aucune n'a communiée aussi bruyamment, avec autant de force auprès du public que le drôle et bouleversant et tragique drame familial Fences, qui a conquis le Tony Awards et a remporté le Pulitzer en 1987. Il a également présenté un spectacle légendaire James Earl Jones comme le patriarche qui pèsent sur la procédure. Malgré son succès commercial, la pièce n'a jamais été reprise à Broadway.Pourquoi??? en grande partie parce que, personne ne pouvait endosser un costume aussi large?
Il a fallu 22 ans, pour avoir la réponse en la personne de Denzel Washington, une star avec la masculinité profonde, chargée d'émotion, et le charisme irrésistible,ce besoin de jouer un personnage qui, en tant que directeur de cette production (et de longue date Wilson collaborateur), Leon Kenny, le dit, «est sur une échelle avec Othello, Lear, Willy Loman." Set en 1957, une époque où "les vents chauds du changement», Wilson écrit, "n'avait pas encore commencé à souffler à plein»
-Fences, qui s'est ouvert fin avril au Théâtre Cort,à New York, raconte l'histoire de Troie Maxson, un cogneur ancien Negro League de baseball éboueur de Pittsburgh. Un imparfait, ce géant tourmenté pris dans le sillage de l'histoire raciale et abandonné par le rêve américain, il peine à nourrir sa famille en même temps qu'il trahit sa femme, écrase son fils, fait rage sur le monde, et les places hors contre la mort. «Il est honnête, tout à fait honnête", dit Washington. "Il n'ya rien de lisse ou difficiles à manipuler ou à son sujet. Comme il le dit, il écoute son cœur, et il suit ce qu'il lui dit, et il dit la vérité de la façon dont il le voit, même quand ça fait mal.
Volià pourquoi j'aime cet acteur un Sidney Poiter mâtiné de Morgan Freeman....un Negro spirituel tout en finesse....si la classe est noire elle est Denzel!!!!
Il est des jours et des nuits où je regrette de ne plus vivre à New York ...heureux spectateurs.....
http://fencesonbroadway.com/
Henri Delorme from Vogue USA April 2010
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