UN MAGAZINE CHIC,CHOC ET CHARME
Un magazine jamais vendu en kiosque,uniquement lu sur le net pour et par les écrivains et tous les artistes aimant l'art du bien vivre et qui veulent lire en musique.
Chic,choc et charme
mercredi 31 août 2011
L'AIMER OU LE FUIR par DELPHINE DE MALHERBE
Quand Delphine de Malherbe place des écrivains dans la peau de héros de roman on a de quoi être étonné !!!!
Colette, 41 ans,cougar avant l’heure ???s’inscrit dans une étrange modernité, lorsqu’elle est rejointe par son beau fils de 17 ans, Bertrand de Jouvenel himself.
L’amour reste le plus sûr moyen de guérir quelqu’un de ses démons ou, inversement, de le détruire. Quand l’immense écrivain Colette, si moderne et si classique à la fois, s’éprend du fils de son second mari, tout s’écroule. Elle a 47 ans et lui 17. Vivre cet amour ou le fuir ? Elle cherche la réponse dans son passé... A 20 ans, elle avait épousé Willy, un séducteur compulsif qui signait de son nom les livres qu’elle écrivait. Pour pouvoir le quitter, elle devra gagner sa vie en prenant des risques : danser nue, porter le costume et montrer un sein, se muer en chroniqueuse judiciaire ou en critique de théâtre...
Colette dans un monologue de psychanalyse se livre avec la variation de ses sentiments, ses incertitudes et démontre que le chemin de la libération de la femme a été long et est encore long !!!
Ses rencontres avec le monde homo hommes ou femmes jalonnent sa réflexion et sa quête du plaisir.
On aimera ou n’aimera pas la forme d’introspection mais ce livre ne peut laisser indifférent.
C’est tout le mérite de l’auteure de s’attaquer à un monstre sacré de la littérature et de savoir garder la forme romanesque sans tomber dans la biographie, belle audace !!!!
Editions Plon
Date de parution : 18 Août 2011
Prix : 17 €
Nombre de pages : 144
Dimension : 132x201 mm
ISBN : 2-259-21290-5
mardi 30 août 2011
ANNE JACQUEMIN POUR MAGCHIC.COUP DE COEUR POUR ACCABADORA
La bruxelloise Anne Jacquemain nous livre son coup de coeur de l'été pour un ouvrage qui à l'évidence fera à la fois débat et du chemin.
Accabadora
Michela Murgia
Le livre a reçu, en Italie, le prix Campiello en 2010. Un prix initié par des industriels vénitiens dont le jury est composé de 300 personnes issues de milieux très divers. Ce sont donc de simples lecteurs, sans influence, a priori, qui accordent un prix à leur coup de cœur.
Ce livre est aussi mon coup de cœur du moment
L’histoire se déroule en Sardaigne où une fillette, Maria, quatrième d’une famille pauvre est « cédée » à une dame aisée, elle devient alors fill ‘e anima. Maria est donc « la fille d’âme » de Bonaria, couturière du village qui peut lui offrir ce que sa mère biologique ne peut lui accorder : la nourriture à volonté, une chambre rien que pour elle et surtout l’éducation. Entre cette mère d’adoption et la fillette, la tendresse et la confiance vont s’installer progressivement jusqu’au jour où Maria va découvrir, de la bouche de son ami, pourquoi Bonaria est appelée souvent la nuit. Elle est la « dernière mère » celle qui facilite le passage des mourants. Malgré les sages paroles de Bonaria :
« Les choses arrivent toutes seules … Serais - tu née toute seule, Maria, ? T’es - tu extirpée de tes propres forces du ventre de ta mère ? Ou n’as - tu pas plutôt été aidée, comme tous les autres êtres vivants ? » … Maria la jugera et la quittera pour le Nord, jusqu’au jour où elle sera rappelée car Bonaria est mourante.
Une pratique ancestrale de l’euthanasie où toutes les questions profondes y sont abordées avec humanité et réalisme : le droit, le devoir, le choix, la dignité, la naissance, la vie, la mort.
Traduit de l’italien par Nathalie Baueur.
Seuil, août 2011, 212 pages
jeudi 25 août 2011
COUP DE COEUR DE MAGCHIC POUR LAYTICIA AUDIBERT
MagChic enfreint ses règles relatives à la notoriété puisqu'il parle de Layticia Audibert qui est connue mais comme peintre!!ouf..or ce dont nous parlerons aujourd'hui sera de la sortie en librairie de son premier roman.Le titre sonne comme une jolie pirouette phonétique!!sur cette crise de la trentaine.
Un regard assez original sur ses contemporains et une fenêtre de tir assez étroite pourtant mais le roman va faire mouche
« Je vais mourir. Tout le monde va mourir. Moi plus vite que vous probablement. » « Le médecin a un visage fatigué. Je le regarde au ralenti. Gros plan sur sa bouche humide qui articule la sentence : “Il ne vous reste que quelques jours à vivre, quelques semaines au mieux. Je suis désolé.” Arrêt sur ses rides, sur ses yeux cernés. Je n’aurais pas aimé être à sa place. Cela dit, je n’aime pas vraiment être à la mienne. » Adam a 30 ans. Gâté, superficiel, il a brûlé sa vie à l’usure de ses réserves de latex. Alors qu’il apprend qu’il est condamné, il s’interroge : qu’a-t-il vraiment fait de sa vie ? Que va-t-il faire des quelques jours qui lui restent ? Pour éviter de se voir dépérir, il s’accordera sept jours. À vivre au rythme de ses péchés capitaux. À réaliser ses rêves dans une course effrénée et sans tabou, sans regret ni concession. Il va conclure avec la femme qu’il aime un contrat d’amour à durée limitée. À travers ce voyage intime, cette quête de soi et des autres, cette recherche de l’oubli du temps, Adam saura-t-il découvrir qui il est ? Acceptera-t-il de payer le prix fort ?
Layticia (notre photo de une ) est peintre et vit et travaille à Paris.Je vais faire un mauvais jeu de mot elle a fait du droit(avocate) et maintenant s'arrange pour ne pas faire le reste de travers.La jeune niçoise ait devant elle un bel avenir
littéraire.
Les éditions Kirographaires n'hypothèquent loin s'en faut son bel horizon!
Editions Kirographaires
lundi 22 août 2011
jeudi 18 août 2011
TRACEY EMIN .LOVE IS WHAT YOU WANT
TRACEY EMIN LA DEJANTEE.LOVE IS WHAT YOU WANT
Serait elle la Amy Whinehouse de la peinture ???????sans les excès extrèmes ??
En tout cas si vous voulez casser votre image de gendre idéal amenez votre belle mère à l’exposition londonienne qui se déroule à la Hayward Gallery en ce moment jusqu’au 29 août
Le vent tourbillonnant du pont de Waterloo si vous venez par le bus 6 n’est rien à côté de certains aspects décoiffants de l’exposition.
Pour tout vous dire c’est la seule expo où j’ai vu un avertissement aux – de 16 ans !!l’expo au carré blanc !Mais Love is what you want…L’amour c’est ce que vous désirez !
Belle trajectoire cette jeune artiste…aurait elle fait sa croissance sur le souffre comme la vigne de Chypre d’où ses parents sont originaires ??
Elle est née à Croydon au sud de Londres (quartier récemment bousculé par les émeutes)fortement influencée par les courants philosophiques de Spinoza et Nietsche
Elle s'est fait connaître du public britannique par deux scandales médiatiques : un esclandre sur le plateau d'une émission culturelle de Channel 4 alors qu'elle était totalement ivre et son installation de 1999 pour le prix Turner, My Bed, composée de son propre lit défait ainsi que de préservatifs usagés et de sous-vêtements tachés de sang.
J’arrive mieux à comprendre pourquoi elle a exposé ses Tampax usagés à plusieurs stade du cycle menstruel !!!Shocking !!!!
Parfois je me suis demandé si c’était elle ou son œuvre qui était exposée……de fait à travers son intimité surexposée on rencontre une forme d’exhibitionnisme !!!
Il est clair que cette artiste exprime une perturbation profonde remuant ainsi en nous nos propres angoisses,nos propres incertitudes,et notre désir de nous montrer .
Mais alors il ne faut pas aller la voir ..cette expo !!!???
Si !!!!il faut pour ouvrir le débat avec vos accompagnants le retour dans le centre de Londres est plus court et plus animé.
Le tissu et la couture prennent une part importante du travail d'Emin, souvent découpé pour faire des lettres cousues sur un autre matériau…ces couvertures sont de toute beauté et pleines de charme….elle a un côté touchant dans cette névrose et ses néons exprime la pureté bien masquée par un aspect scandaleux.
Elle a notamment voyagé à travers les États-Unis avec le fauteuil de sa grand-mère, There's A Lot Of Money In Chairs (1994), sur lequel elle a cousu son nom et celui de son frère, le nom des villes où elle s'est arrêtée et a fait des lectures publiques de son livre Exploration Of The Soul.
On aime ou n’aime pas !!!je suis sorti de cette exposition avec plus de questions que de réponse…..n’a-t-elle pas gagné son pari ??? elle a fait 40 000 entrées Édimbourg d’août à novembre 2008….gageons qu’elle va battre son record en 2011 .
On dit souvent que le talent est l’expression d’une forme de névrose, why not.
Après m’être documenté j’ai retrouvé dans son enfance un début de réponse à mes questions…. issue d’un père bigame ,et violée à l’âge de 13 ans, je me suis dit que l’art est la catharsis et que si le 29 mars 2007, Tracey Emin a été nommée Académicienne royale par la Royal Academy of Arts ,il y a une reconnaissance de son art et de quoi restaurer la porcelaine cassée de son enfance.
L’art est le seul lieu où l’on a le droit de tout exprimer !alors longue vie à Tracey que je qualifierais d’Expressionniste !!!
Il ne vous reste plus que 10 jours !!!
Sinon il ne vous reste plus qu'à aller sur le site de SAATCHI GALLERY en suivant le lien SAATCHI
Exposition à la Hayward Gallery Londres du 18 Mai au 29 August.
South Bank Centre
Subway Waterloo (nombreux bus aussi)
TLJ de 10 A.M à 6 P.M avec deux nocturnes le jeudi et le vendredi
MAG CHIC A LONDRES..COUP DE COEUR POUR STEPHEN WILTSHIRE
Il est des rencontres que l'on ne peut oublier!!!!!!Celle avec Stephen Wiltshire fut de celles -ci...avant mon départ pour Londres ,l'artiste était sur mon mémo.....voir cet homme et mourir.
Stephen est autiste et peint depuis l'âge de 12 ans,il a sa galerie ..à mon sens trop petite...près de Pall Mall ,non loin de l'allée royale du Palais de Buckingham.......Les américains blasés lui ont fait survoler Manhattan en hélicoptère et de tête il a peint tous les immeubles de la presqu'ile!!!!!il ne manquait pas une seule fenêtre à l'Empire State Building.
Il a bluffé tout le monde ...sa fresque de New York est à hurler de réaslisme!!!!
Stephen Wiltshire est un artiste qui dessine et peint des paysages urbains détaillés.. Il a un talent particulier pour le dessin réaliste, des représentations précises des villes, parfois après avoir constaté que les brièvement.
. Il a reçu un MBE pour services rendus au monde, il est convié à un certain nombre d'expositions importantes.
Stephen est né à Londres de parents antillais, le 24 avril, 1974.. Comme un enfant il était muet,n'avait aucun rapport avec les'autres personne,il ne parlait pas la langue et vivait entièrement dans son propre monde.
A l'âge de cinq ans, Stephen a été envoyé à l'école Queensmill à Londres, où il a été remarqué que son seul passe-temps, était le dessin. Il est vite devenu évident qu'il a communiqué avec le monde à travers le langage du dessin, les animaux d'abord, puis les bus de Londres, et enfin les bâtiments. Ces dessins montrent une perspective magistrale, une ligne fantaisiste, et révèlent un art naturel inné
Impressionnant ! Stephen Wiltshire, cet artiste autiste, est capable de dessinehttp://www.blogger.com/img/blank.gifr une ville entière de tête (Londres ici), dans les moindres détail ! Une performance qui lui aura pris 5 jours de dessin sur une immense toile incurvée. On le surnomme "The Human Camera
"Quand il m'a remis sa carte j'étais au bord de l'évanouissement......la chair de poule frissonnait tout mon corps durant la visite de ces œuvres exceptionnelles!!!!Sur son livre d'or une phrase choc!!!Picasso can go to bed!!!!!!!!!
De moi il a fait de moi un handicapé cet après midi d'août dans Londres!!!
Son site pour le découvrir....ou le redecouvrir..http://www.stephenwiltshire.co.uk/
jeudi 11 août 2011
BON ANNIVERSAIRE INES DE LA FRESSANGE
INES DE LA FRESSANGE ET SES RACINES AUVERGNATES.
L’occasion d’un anniversaire, noblesse oblige, est celle où l’on plante un arbre….généalogique ???
Loin de moi de m’approprier les racines d’une telle icône nationale….par sa mère il est évident qu’Inès tire son regard de braise de l’Amérique du Sud(Argentine) exactement.
Mais il faut remonter dans la généalogie à la sixième génération pour trouver l’illustre aïeul de la belle dame de chez Chanel.
Henri Jacques Hilaire Jean François Régis de SAIGNARD de LA FRESSANGE, dit marquis de La Fressange, baron de Queyrières, officier de la Légion d'honneur, né le 10 mars 1791, Saint-Didier-la-Séauve, 43, Haute-Loire, Auvergne, FRANCE, baptisé le 12 mars 1791, décédé le 28 août 1852, Bagnères-de-Luchon, 31, Haute-Garonne, Midi-Pyrénées, FRANCE (à l'âge de 61 ans) (ou décédé à Martres (Haute-Garonne), selon les sources,
Capitaine de cavalerie, député en 1843. Son parrain fut Henry Jacques Hilaire BESSON de CHAMPIGNY, ami de son père. Héritier de la terre-marquisat de La Fressange, il fut élève à l'école militaire de Fontainebleau. Officier de la Légion d'honneur, il fut décoré sur-le-champ de bataille par l'Empereur lui-même. Il quitta le service en 1814, avec le grade de chef d'escadron, fut officier de la Garde Royale sous la Restauration, conseiller général de la Haute-Loire, puis député du collège d'Yssingeaux (4 novembre 1837, 2 mars 1839, 9 juillet 1842, 1er août 1846).
Il quitta la vie publique avec la Révolution de 1848. Chef d'escadron de dragons (1815), maire de Saint-Didier, conseiller général, député de l'arrondissement d'Yssingeaux, chevalier de la Légion d'honneur (25 février 1814) (source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome VI, page 119)
. Chef d'escadron, adjudant-major au premier régiment des grenadiers à cheval de la garde (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 218).
Maire de Saint-Didier du 26 juin 1826 au 23 septembre 1831, chevalier de la Légion d'honneur, député du 18 mars 1847 au 17 avril 1848 (source : D'azur au Lion d'Argent, par Paul RONIN, tome III, pages 41-42). Il fut élève à l'école militaire de Fontainebleau, capitaine de cavalerie, chef d'escadron en 1814, adjudant-major au premier régiment des grenadiers à cheval de la Garde, chevalier de la Légion d'honneur le 25 février 1814, officier de la Garde Royale sous la Restauration, maire de Saint-Didier, conseiller général de Saint-Didier, deux fois président du Conseil général de la Haute-Loire, député de l'arrondissement d'Yssingeaux, il se retire de la vie politique lors des évènements de 1848 (source : La Famille de SAGNARD de LA FRESSANGE, une famille noble à Saint Didier en Velay, par Jérôme SAGNARD, page 16)
Il entra à l'école militaire de Fontainebleau en 1808 et en sortit, en 1810, sous-lieutenant de dragons. Passa successivement lieutenant, puis capitaine et était, en 1815, adjudant-major au 1er régiment de grenadiers à cheval. Commandant du dépôt de Caen, il fut admis à la retraite en 1821, après avoir fait les campagnes de l'Empire au cours desquelles il fut blessé et décoré sur-le-champ de bataille.
Revenu à Saint-Didier-en-Velay, il en devint le maire en 1826, puis conseiller général en 1833. Il fut élu, en 1837, député de la Haute-Loire par l'arrondissement d'Yssingeaux, et fut l'un des 221. Réélu en 1842, il rentra dans la vie privée aux événements de 1848. (source : Dictionnaire Biographique de la Haute-Loire, par Gaston JOUBERT, Yssingeaux, 1982, page 356).
Il se. maria le 17 août 1818 avec : Emilie de ROSILY-MESROZ, Fille de François Etienne, comte de ROSILY-MESROZ, vice-amiral, directeur général des Cartes et Plans de la Marine,
Ainsi notre belle Inès trouve son caractère volcanique dans nos terres éruptives……les Vellaves n’en seront que plus fiers !
Son père André de SEIGNARD de LA FRESSANGE, Avocat international et Conseiller en investissements, s’est marié avec Cécilia, dite lita SANCHEZ CIREZ,
De cette union naquirent
Emmanuel, marié à India.
Inès, née le 11 août 1957, Gassin, 83, Var, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, France.
Ivan.
Juste une précision la noblesse de sa famille paternelle remonte à la 17 ème génération soit en 1285
Vous savez tout sur Ines maintenant !!!!
samedi 6 août 2011
COUP DE COEUR POUR RACHEL YEDID
Rachel Yedid from Sébastien Lefebvre on Vimeo.
Qui est Rachel Yedid??
Au delà de ce qu'elle nous a dévoilé sur sa vidéo...Rachel incarne cette génération israélienne riche en talent et en envie.
Artiste-peintre contemporain au talent reconnu en Israël et en Europe (Rotterdam, Bruxelles), Rachel Yedid a déjà exposé en France, à Paris. Les happy fews ont ainsi ou découvrir son travail sur le corps des femmes dont l'artiste se sert comme d'un instrument qu'elle seule sait faire vibrer du bout de son pinceau pour nous faire entendre les cris de l'âme.
Fille d'un chef d'orchestre à l'UNESCO et d'une violoncelliste, Rachel a elle-même étudié la musique, puis elle s'est orientée vers la peinture.
Deux ans d’études à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, et trois ans à l’Ecole Supérieure des Arts Visuels de Jérusalem où elles’exerce à de nouveaux savoir-faire comme l’acting-painting, le video art, la photographie, la sculpture et la mise en scène. Aujourd’hui, Rachel enseigne l’Art au Musée d’Israël dans le cadre d’un programme du Ministère israélien de l’Education et de la Culture. Elle anime des ateliers pour adultes et organise des rencontres d’art contemporain
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