Avec presque un demi siècle d'écart, ces deux films aux scénarii idoines, sont aussi lumineux que leurs personnages sont troubles. Le suspens et la rythmique n'ont rien perdu de leur saveur, le sens de l'esthétique est au même niveau d'exigence (J'en cesserait presque d'être vieux jeu), sauf pour les yeux de Marie, à côté desquels même les belles eaux de la Méditerranée semblent fades, mais comme à l'impossible nul n'est tenu....
Alors si la nouvelle version tombe presque dans le piège "jet set", elle offre aussi un beau visage d'une Italie riche de ses variations (aussi belle que la France?), on peut donc lui pardonner de vouloir séduire nos contemporains.
Amis cinéphiles, régalez-vous de ces deux monuments du cinéma
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire